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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 18:34

 

 (les consolations de Franz Liszt)
 

En la cité du textile de Roubaix, un petit espace empli de beautés, d'inspiration, dans l'ambiance gaie et flottante des nageurs libres et détendus; la piscineLe bassin de la piscine de Roubaix se renouvelle de son eau ressourçante et régénérée, les lumières châleureuses, le parquet couleur acajou qui réchauffe renforcent le sentiment de mieux être.

 

Parmi les beautés sculptées de courbes douces et drapées d'habits de plénitude, la femme dans toute sa pureté profonde :La foi

 la Foi s'agenouille douce et digne;

l'Espérance suscite l'admiration, l'espoir du sentiment d'accomplissement possible sous ce regard bienveillant: L'espérance

 

Aimons avec entrain plus que jamais jusqu'à en vaciller de l'étourdissement de celui qui transforme en réalité son rêve absolu d'amour.

                                                            

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 10:14

Il était une fois une pensée pour les oubliés de la terre, disponibles pour l'éternité de l'eau delà: 

 

La musique surfe, mouvements chaloupés, le talent s'affirme, ainsi que la lucidité des constats. Et puis l'intermède, pour se délecter d'un peu d'esthétique, du hasard des signes du jeu de carte, pour traverser les sentiments, de l'attrait à l'amitié. Et puis la force du Hip hop.

 Le combat s'engage, le maître de cérémonie, combattant, mystique, en recherche de l'éclairage et de la force divine balance toute son énergie, toute son inspiration des mots, sa présence charismatique :

 après ça... pour le triomphe de l'âme solaire enfin apaisée.

 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 14:02

église StJBaptistedelaSalleRouenIl s'agit d'un Hommage appuyé, pour la communauté paroissiale qui anime chaque samedi soir la messe et rend vie à la petite église Saint-Jean-Baptiste de la Salle, située rive gauche à Rouen. Elle ne paie pas de mine cette maison du bonheur, sobre aux murs de briques, son intérieur sans reliques ni sculpure, son toit en forme de pyramide en ardoise, datant des années 60. Sa petite chapelle, également toute en simplicité diffuse également la châleur humaine.

 

A l'heure de la préparation des sorties du samedi soir, des retours à la maison pour le dîner après une journée d'achat en ville, des repas de familles ou entre amis ou avant l'émission TV,  quelques coeurs affirmés, assoiffés de générosité, humbles et pleins de conviction chrétienne et charitable viennent prier avec grand foi en Saint-Jean-Baptiste de la Salle à quelques pas des quais de la Seine et du Centre Saint-Sever.

 

Dieu ne les a pas placé sous les projecteurs. Ce trésor caché de vie brille surtout de plein feu lors du temps des cérémonies des dimanches ordinaires, là où le recueillement, l'inspiration dans la prière est la plus forte, la plus prégnante. 

 

Alors Dieu semble nous avoir comblé ce fameux samedi froid et sombre d'hiver quelque peu éclairé par les douces lumières des lampadaires de la cité, qui restera dans la légende (car la mémoire défaille un peu) de nos petites vies, alors qu'écorchés vifs de l'intérieur, nous recherchions une activité pour nous ressourcer sans savoir où nous pénétrions, tenter de capter un peu de nourriture spirituelle, sans savoir où nous allions, sans envie de se donner bonne conscience mais désireux de recouvrer un peu d'humanité d'espérance, rien que pour se convaincre qu'il s'agissait de surtout ne pas se lâcher, entretenir notre amitié, notre amour en dépit de nos différences d'origine et de parcours de vie. 

 

A l'heure où quelques temps auparavant, l'abbé Pierre s'était éteint à quelques kilomètres de là à Esteville à côté de la dame fidèle Geneviève Coutaz et de quelques compagnons guerriers de la lutte contre l'exclusion, nous touchions une peu le Graal dont nous avions besoin pour alimenter notre soif de continuer à donner le meilleur de nous même en toute liberté.

 

Bref, nous découvrions, l'incarnation divine dans l'une de ses expressions la plus forte en la personne du père André Guérard, son homélie puissante, éloquente et tout à la fois douce, tolérante, sincère, bienveillante, morale et remplie de sens. Une âme incroyable témoignant, pourtant dans un physique atteint par l'âge avancé et nourri par le fruit de l'expérience,une conviction de bonté qui semble toujours aussi nourrie de l'enthousiasme de la jeunesse, comme inébranlable, semblant s'enrichir encore des leçons des épreuves.

 

Bref cette rencontre nous a soulevé le coeur, nous a bouleversé à nous en humidifier les joues. Il fallait absolument y retourner, pour continuer à à croire que le meilleur de l'homme reste à venir; continuer à découvrir. Alors, le détour par Rouen depuis Amiens, puis Lille pour se retrouver là-bas se reproduit depuis au moins trois ans déjà. Et toujours, nos coeurs se remplissent de cet amour diffus, cette passion ne s'éteint pas, s'alimente encore et encore avec toujours la même émotion, à l'écoute de ce message divin du père Guérard. A chaque fois, nous reprenons force pour affronter les obstacles de nos existences, diffuser nous même avec nos limites ces mêmes indices de l'espoir d'une vie où, surtout, il s'agit de constamment garder un regard, un sourire envers celui qui semble n'avoir plus rien et qui semble devoir nous enrichir, bien sûr davantage que le félicité de la société.

 

Autour de cette âme admirable, d'autres anges engagés dans cette bataille pour la victoire de l'amour, le sourire et le sens de l'accueil aguerris, viennent vers nous: Pascal, Marie, Luc, Jean-Michel, Micheline et ces autres que nous devrons encore apprendre à connaître. L'esprit est le même.

Nous observons: ils en vivent des choses, manifestement pour la pureté de la démarche, sans ostentation ni ambition de soulager leur conscience : ces pélerinages, ces moments de retraite ces rencontres autour d'un repas, ces temps de préparation des cérémonies, ces organisations de repas chauds pour les sans-rien.  

 

Le temps de la prière universelle nous fournit des repères et m'incite à développer : la justice, le soutien au "plus faible", le sens du partage, le combat pour la dignité de l'homme dans sa plus belle manifestation, la sincérité et la générosité de coeur, le devoir de croquer la vie en toute liberté afin de mieux connaître les richesses de l'existence, le devoir de soutenir nos proches, d'entretenir l'amitié, de se souder face à l'adversité, ne pas oublier notre passé pour nous guider dans le cheminement à venir, profiter à plein du présent, développer nos capacités créatrices, donner le meilleur de nous même pour se découvrir encore davantage... Bref, faire fructifier ce Trésor de cette communauté de l'amour.

 

L'ambition de ce programme, je l'espère n'est pas trop orgueilleuse, ni trop au dessus de mes forces ou de mes capacités. J'essaierai de l'entretenir modestement plus en silence mais ici il fallait en laisser trace pour témoigner que toutes ces sensations, je les avait bien vécues, ressenties dans toute leur vérité, avec quelques proches dont ceux qui ont bien voulu m'accorder leur confiance ne sont pas les plus évidents.

 

Le bonheur est simple, est tout près de nous, à faire vivre avec un peu de rire.

 

Sourire. 

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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 17:38
 (valse modérée de Frédéric Chopin)

Je prolonge la découverte de la campagne du Nord en ce dimanche de novembre gris, automnal, venteux, humideLe Quesnoy étang en automne. Parmi, les images à capter,

 l'eau, les feuilles multicolores, le plan d'eau le long des remparts de la cité médiévale de Le Quesnoy.

 

Mignons, attendrissantsLe Quesnoy beffroi église également, sa place centrale, son beffroi du XVIIIème, son église de brique rouge.

 

 

 

 Mormal et Locquignol

 Je souhaitais retrouver les chemins de la forêt de Mormal, pénétrée depuis son détenteur officiel, le petit village de Locquignol.

 

 

Je n'étais toujours pas rassasié malgré le pique-nique sous le kiosque à l'abri du vent.

 

 

 (Chopin encore)

 

Bavay site gallo-romain

Je longeai la forêt vers le nord pour découvrir les Nerviens, ce peuple Gaulois Belge qui tenta de résister aux Romains avant d'apprécier les installations gallo-romaines lancées par Auguste, dont ces traces du forum surplombant le bavaisis, site unique en France.

 

Le kiosque de Bavay,

Bavay kiosque 

 

 

 

caché derrière sa place Bavay place de Gaulle

 

m'enchanta de ravissement, le romantisme y développant tous ses caractères de châleur, ses sensations du coeur, sa vision de l'espoir d'une plénitude de l'expression de la liberté et de la dignité.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 16:49
 (Piotr Tchaïkovski pour l'ambiance)

 

Maroilles herbageIl était un temps d'automne. Je souhaitais une escapade dans le sud du département du Nord, le pays appelé la Suisse du Nord: l'Avesnois, pays de bocage, bois, de vaches et de simplicité paysanne.  

 

Il fallait humer l'air de la campagne en cette journée claire, fraîche, dominicale.

 

Alors, j'ai emprunté l'autoroute A23, longé Valenciennes après avoir traversé la forêt Scarpe Escaut pour rejoindre ce petit coin de paradis vert. 

 

 

Il était temps de pénétrer dans la simple et oxygénante forêt de Mormal.

Elle est une forêt de plus de 9 Mormal 1000 ha de feuillus, située à proximité de la commune de Le Quesnoy et rattachée au petit village de Locquignol.

 

J'y pris plaisir à y traverser les hêtraies, les futaies de chênes, à y emprunter les  chemins de terres ou de cailloux, à y entrevoir le soleil au dessus des feuillages.

 

Mormal 3

 

 

 

 

 

 

Comme un garde forestier, muni de mon bâton de marche, j'écoutai les bruissements des feuilles, les chants des oiseaux. Je surpris une biche s'échappant d'un fourré et piétinant les fougères.

 

je m'étais déjà remis les idées en place quand j'entrepris de prolonger plus loin, de continuer à découvrir l'espace d'une sortie impromptue.

(Piotr Tchaïlovski toujours pour le plaisir)

 

Alors, je gagnai le village de Maroilles.  Maroilles rouge 3Les couleurs n'y viraient

 que progressivement au rouge, au roux. En tout cas, son église de brique avait déjà pris les couleurs d'une fin d'octobre.

 

eglise Maroilles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A peine 1 500 habitants et une renommée internationale.

 

Ses petits cafés n'y paient pas de mines où la Jenlain ambrée se savoure lentement. Il est possible d'y expérimenter les nouveaux jeux de pari : L'Amigo, un tirage tous les cinq minutes. 

 

 

Toutefois, venu tout droit depuis la grande agglomération lilloise, j'avais l'impression d'y toucher au bout du monde un moment de simplicité, de calme ô combien précieux.

   Maroilles herbage

Alors, je me laissai encore davantage prendre par le jeu, et la faim aidant, ramenai pour faire honneur aux producteurs locaux du terroir, une flamiche et l'excellent fromage au lait cru, AOC tirée du pis de la Maroillaise, vache par excellence des pâturages de la Thiérache, pays chevauchant l'Aisne en Picardie, les Ardennes, le Hainaut belge et le Nord.

 

Le Maroilles

 

 

 

 

Alors, je me le dis et vous invite également: il faut y venir, y revenir ne serait-ce que pour goûter le sens de l'accueil de ses habitants si châleureux.

 

 

 

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 19:22

Le peuple syrien déploie un courage extraordinaire pour se libérer du joug totalitaire, se bat avec une détermination et une bravoure incommensurable pour recouvrer ses droits naturels étouffés depuis plus de 40 ans.  citadelle d'Alep

 

ce pays occupe 185 000 km² . Il est constitué d'un vaste plateau calcaire et est traversé par l'Euphrate. Il comprend 22 millions d'habitants de langue arabe, majoritairement Musulmans Sunnites qui vivent de la production et l'exportation de fruits et légumes, de coton, de bétail. Les échanges s'opèrent avec la lire syrienne.

Historiquement, Damas, sa capitale fut celle du grand Empire Omeyyade aux VIIème et VIIIème siècles. Les Ottomans occupèrent ce territoire pendant près de 400 ans, avant la révolution arabe et l'indépendance acquise brièvement en 1918 ( royaume Hachémite de Fayçal), l'occupation et le mandat syrien puis le retour à l'indépendance en 1946.

 

(La citadelle d'Alep est l’une des plus importantes créations Ayyubides en matière d’architecture militaire)

 

L'enjeu est historique: comment l'union des individus permet la restauration de la cohésion d'un peuple prêt à concrétiser le droit légitime à guider la propre destinée. Il s'agit de retrouver le pouvoir de prendre les rênes de son destin économique, culturel et spirituel.

 

(Assala Nasri)

Dans un contexte de dictature sans partage, où la liberté d'expression est annihilée, où la possibilité d'ascension sociale ne pouvait se réaliser à l'aune de son seul talent ou savoir faire, ce peuple retrouve l'espoir de reconquérir sa dignité, de s'ouvrir de nouvelles perspectives de nature à restaurer aux yeux du monde une image et une réputation dignes de son potentiel.

 

 

 

Ingéniosité pour parvenir à communiquer, intelligence pour imaginer les  moyens d'organiser la résistance, puissance à s'abstraire des souffrances de la répression dans la persévérance à occuper la rue, le peuple syrien revit sa liberté d'aller et venir autant que sa liberté de penser et d'expression. 

 

La poésie reste au centre de la culture arabe. Elle reste un vivier d'espoir. Voici ce poème d'Adonis : 

  Toucher la lumière

 

Par une nuit de pleine lune

essaye de fixer la galaxie

Tu verras qu’elle est cours d’eau

avec tes bras pour affluents

ta poitrine pour estuaire

 

Aujourd’hui le ciel a écrit son poème

à l’encre blanche

Il l’a appelé neige

 

Ton rêve rajeunit tandis que tu vieillis

Le rêve grandit en marchant

vers l’enfance

 

Le rêve est une jument

qui au loin nous emporte

sans jamais se déplacer

Le nuage est las de voyager

Il descend à la plus proche rivière

pour laver sa chemise

A peine a-t-il mis les pieds dans l’eau

que la chemise se dissout

et disparaît

 

Une rose sort de son lit

prend les mains du matin

pour se frotter les yeux

 

Le palmier parle avec son tronc

la rose avec son odeur

 

Le vent et l’espace vagabondent

main dans la main

 

Arc-en-ciel ?

Unité du ciel et de la terre

tressés en une seule corde

 

Il marche sur les versants de l’automne

appuyé au bras du printemps

 

Le ciel pleure lui aussi

mais il essuie ses larmes

avec le foulard de l’horizon

 

Quand vient la fatigue

le vent déroule le tapis de l’espace

afin de s’y allonger

Dans la forêt de mes jours

aucune place

sauf pour le vent

 

Pour toucher la lumière

tu dois t'appuyer sur ton ombre

 

Je sens parfois que le vent

est un enfant qui crie

porté sur mes épaules

 

Comment décrire à l’arbre

le goût de son fruit ?

A l’arc

le travail de la corde ?

 

Telle une main

la lumière se déplace

sur le corps des ténèbres

 

C’est l’épaule de l’espace

qui s’effondre là-bas

sous les nuages noirs

 

L’espace dans l’œil de la guillotine

est lui aussi tête à couper

 

Tu ne peux être lanterne

si tu ne portes la nuit

sur tes épaules

 

Je conclurai un pacte avec les nuages

pour libérer la pluie

Un autre avec le vent

pour qu’il nous libère

les nuages et moi

 

La parole est demeure dans l’exil

chemin dans la patrie

 

Qu’il est étrange ce pacte

entre les vagues et le rivage –

le rivage écrit le sable

les vagues effacent l’écriture

 

Mémoire – ton autre demeure

où tu ne peux pénétrer

qu’avec un corps devenu

souvenir

 

 

Adonis, in Toucher la lumière, 1997.

Cet exemple de courage et d'espoir va se diffuser et ne peut que nous bonifier et nous aider à affronter nos incertitudes quant à l'avenir. 

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 20:12

Le Fondateur du Samu social, le Docteur Xavier Emmanuelli également cofondateur de MSF et secrétaire d'Etat à l'action humanitaire entre 1995 et 1997, vient de pousser un cri d'alarme sur la réduction des moyens drastiques dédiés à l'aide aux plus démunis de notre pays dans un contexte de crise et d'aggravation de la précarité et de risque de perte de la cohésion sociale.

 

Ces moyens permettent le maintien du contact, l'apport d'un sourire, d'une alimentation, de soins d'hygiène et médicaux, d'un hébergement, d'un accès à une aide sociale. Les enjeux sont majeurs: la préservation de la dignité et de la liberté de tout homme quels que soient son niveau de richesse matérielle, son origine sociale, ses croyances religieuses, politiques, ses convictions politique, par une action de solidarité qui ne laisse personne sur le bord de la route.

 

Il s'agit de résister pour que les droits de l'homme restent le fondement de notre vivre ensemble, de notre idée de la hauteur de l'homme, de la concrétisation de notre espoir en un monde meilleur.

 

Voici le lien vers le site du Samu social qui décrit avec humilité dans sa charte, les valeurs essentielles qui guident son action, l'ampleur, la richesse et la diversité de son oeuvre: http://www.samusocial-75.fr/

 

Autour de nous, il s'agit de parler de cette urgence sociale consistant à relever notre  port de dignité par l'aide aux plus humble d'entre nous, continuer à s'indigner de toute injustice de nature à dégrader l'image de l'homme, s'informer et entreprendre toute action créatrice apte à soutenir son prochain. 

 

Parce que l'intégration suppose travail et logement mais avant tout dignité et liberté et que nous pouvons vivre sans le plus petit d'entre nous aux ressources insoupçonnées, gardons espoir. Ne pas hésiter à diffuser cet appel autour de vous? qui complète l'action d'associations telles ATD Quart Monde, Emmaüs, la fondation Abbé Pierre, le Secours Catholique, Amnesty International ou les organismes de l'ONU et d'autres encore. Surtout, il s'agit au quotidien de garder le regard bienveillant, la capacité du sourire et du don à l'homme de la rue.

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 20:51

La sagesse nous conduit à nous relever et résister : témoignage

 

 
 Il s'agit de se réveiller et de s'indigner pour restaurer les droits, la dignité et la liberté des exclus: témoignage


 

 

 

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 19:44

Il est bon de vivre de l'amour qui donne des ailes, réchauffe le coeur, invite au don de soi : musique

 

 

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 20:19

Digne pause, en couleur et beauté :femme africaine

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